Encore une fois, je dois m’adapter à un changement de plan: je devais aller à Sanare demain, mais finalement, je ne partirai que jeudi. C’est un peu frustrant, car, bien que j’aime faire le touriste, je commence à avoir hâte de travailler. Après tout, c’est pour ça que je suis venu ici. J’ai une tolérance limitée pour l’oisiveté. Je suis mûr pour du travail, plus mûr que la cerise de Soeur Angèle.
Au moins, je passerai encore un peu de temps avec Marilou, ici, à Caracas.
bouah… la cerise de soeur angèle… c’est de l’humour vénézuzélien ça?