Lundi, fourbu de ma fin de semaine, je suis arrivé à mon auberge. J’ai essayé d’en ouvrir la porte, mais elle était barrée. Or je n’en ai pas la clé. C’est mon collègue Sergio qui l’a et qui a jugé bon de verrouiller cette porte. J’étais fâché, car j’avais juste hâte de déposer mes trucs et de relaxer. Là, je dois attendre que Sergio revienne de Valencia, à trois heures de route de Sanare. Et comme c’est là, il ne revient pas avant demain, au minimum. Pas fort, comme move…
Heureusement, je peux accéder à ma chambre. Mais je ne peux aller ni dans la cuisine, ni dans le salon, où se trouve l’ordinateur que j’utilise habituellement. C’est pourquoi je n’ai pas encore mis de photos de ma fin de semaine sur Internet. Mais je le ferai dès que possible. J’en ai pris beaucoup, et elles sont magnifiques!! Les autres textes suivront également. Patience…
There goes, the story of a serial badlucker, there goes, the story of a friend of mine…(King Squirrel)