– j’ai acheté un premier guide de voyage en vue de mon tour du monde: le Lonely Planet en anglais sur la Thaïlande. Il s’agit de la 13e édition du guide, elle date de 2009 et elle compte 820 pages. Je l’ai payée 29,99 $ chez Renaud-Bray. La plus récente version française du guide (la 9e) date de 2010, mais elle coûte environ 55 $.
J’ai choisi la version anglaise du guide pour deux raisons: d’abord, j’ai pu économiser près de 25 $ par rapport à la version française. Cette économie me permettra d’acheter un autre guide, si je le souhaite (celui sur les îles Fidji ou le Sydney Encounter, par exemple). Ensuite, je veux faire des échanges de guides, une fois sur la route. Étant donné sa popularité, l’anglais m’offrira plus de possibilités de transaction. Ces échanges m’éviteront d’avoir à acheter plusieurs guides, ce qui alourdiraient mes bagages.
J’ai utilisé plusieurs guides Lonely Planet au fil des années et j’ai toujours été satisfait de leur qualité. Je les aime pour la précision des informations et l’abondance des cartes. Mon sens de l’orientation est bon, mais j’ai tout de même besoin d’arpenter un secteur plusieurs fois avant d’en bien saisir la configuration. Les cartes m’aident donc à établir les repères nécessaires pour que je puisse enregistrer mentalement l’état des lieux.
D’aucuns diront que les guides de voyage enlèvent de la spontanéité au voyage. Non. Si je désire me lancer à l’aventure, à l’improviste, je n’ai qu’à ne pas ouvrir mon guide et m’abandonner aux circonstances. Et si je veux vivre une expérience particulière, je saurai comment y parvenir en un minimum de tâtonnements, grâce aux informations contenues dans le guide. En fin de compte, c’est juste une question de jugement.
– j’ai encore été à une friperie pour y porter un sac de vêtements que je ne porte plus. Le ménage se poursuit.
– j’ai lu sur des destinations qui m’intéressent.