Voici ce que m’ont inspiré sept jours à Sydney:
– le coût de la vie est généralement élevé à Sydney. Par exemple, il est difficile de souper (ou dîner, si vous préférez) dans un restaurant pour moins de 10 $ AUD, à moins d’acheter sa nourriture dans les épiceries. Évidemment, tout est une question d’habitudes de consommation. Je dois cependant avouer que je n’ai pas été très économe, ici… ha ha.
– si vous allez à Bondi Beach, sachez que le retour peut être très long; j’y ai été un dimanche après-midi et ça m’a pris environ 2 h 30 pour revenir au centre-ville de Sydney. Or ça m’avait pris une trentaine de minutes à l’aller. Il a d’abord fallu que j’attende un bus, comme des centaines de personnes, avant d’attendre longuement dans ledit bus, à cause des embouteillages. Le truc: partir plus tôt que la fin de l’après-midi (ou peu après le souper) et, s’il y a trop de gens, aller prendre le bus près de la partie nord de la plage; il devrait y avoir moins de monde. Les circuits 333 et 380 relient Circular Quay et Bondi Beach.
– ma plage préférée fut Manly Beach, qui se trouve dans une banlieue de Sydney. La plage est magnifique et elle est située dans un secteur très agréable, caractérisé par la rue piétonnière The Corso et ses environs. Pour s’y rendre, il faut prendre le ferry au quai 3, à Circular Quay. Un billet coûte 6,60 $ AUD pour un aller (ou un retour), et l’agréable croisière à travers Sydney Harbour dure environ trente minutes. Bondi Beach est superbe aussi, mais le chemin pour s’y rendre est moins intéressant, car il traverse des zones urbaines. Et, comme je l’ai mentionné plus tôt, le retour en transport en commun à partir de Bondi peut s’avérer infernal.
– les Sydneysiders adorent faire du jogging. Vraiment.
– Sydney a son style architectural particulier. Certains édifices, comme celui de la Deutsche Bank, au centre-ville, sont particulièrement reconnaissables.
– à la suite d’un fâcheux incident aux îles Fidji, j’ai brisé l’écran de mon ordinateur portable. Pour un blogueur, c’est une catastrophe. Déterminé à ne pas dépendre des cafés Internet, j’ai décidé que je devais m’en racheter un. C’est ce que j’ai fait à Sydney. J’ai demandé conseil à des employés de mon auberge, qui m’ont suggéré d’aller dans des magasins d’articles électroniques tels que JB Hi Fi et Dick Smith. J’y ai été et j’ai trouvé une nouvelle machine, qui m’a coûté environ 415 $ CAN. À noter que je n’ai presque pas vu d’ordinateur portable à moins de 300 $ AUD. J’ai maintenant un miniportatif HP, écran 11 pouces, 2 G de RAM, 320 G de disque dur, bla bla bla. Ça devrait aller pour un bon moment. J’ai renvoyé mon portable brisé au Québec par courrier international (ça.coûte.cher.), car, malgré l’envie, j’ai décidé de ne pas le détruire en mille morceaux.
– le meilleur nom de commerce que j’ai vu dans la ville: Hot Didely Dogs. Ned Flanders adorerait cet endroit.
– même après quelques jours, j’avais encore de la difficulté à me faire à l’idée que je dois d’abord regarder à droite, avant de traverser la rue.
– il y a une quantité prodigieuse de touristes allemands à Sydney.
– si vous avez besoin de vêtements peu dispendieux, les magasins Lowes sont un bon choix. Ils me rappellent les magasins Zellers. Vous en trouverez un au coin des rues Pitt et Park. J’y ai été pour m’acheter un coupe-vent imperméable et je l’ai payé le même prix que si je l’avais acheté au Québec.
– de façon générale, je comprenais bien le fameux accent australien. Je le trouve charmant.
hihihi! drôle le nom du magasin de hot dogs!
Oui! Et plusieurs autres commerces de la ville ont aussi des noms ou slogans drôles, souvent basés sur des jeux de mots. C’est plutôt divertissant…
Crois-moi, à Singapour, ça m’a probablement pris 6 mois avant que la conduite sur la gauche du chemin devienne une seconde nature. Comme piéton. Car je n’ai conduit aucune voiture là-bas. Peut-être 2 semaines, avant que ça devienne une surprise moindre…
Je te crois, car je me rends compte que certains réflexes sont difficiles à modifier. Et j’imagine que la circulation à Singapour devait être plutôt infernale.